Jeudi soir 30 septembre, une cinquantaine de personnes se sont réunies à la Maison de quartier du soleil à l’initiative du collectif “pour que personne ne dorme à la rue”, pour exiger des logements pour plusieurs familles - avec des enfants - qui dorment à la rue. Etaient présents des habitants du quartier, des militants des associations, et des enseignants... Le Préfet de la Loire fait du zèle pour multiplier les expulsions, mais ne respecte même pas la loi et les décisions de justice qui l’obligent (...)
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Collectif "personne à la rue !"
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Le préfet doit loger les familles et les enfants qui dorment à la rue. C’est la loi.
4 octobre 2010, par Georges Günther -
Saint-Etienne : une manifestation pour exiger le respect du droit au logement
19 juin 2010Une manifestation de rue pour exiger le respect du droit au logement : ce n’est pas si courant par les temps qui courent. Bien entendu, des démarches et des actions personnelles et associatives pour essayer d’apporter une solution à des problèmes concrets de logement, il y en a tous les jours. Et c’est indispensable, si l’on veut trouver des solutions aux situations concrètes. Là, le 12 juin, le collectif “pour que personne ne dorme à la rue” a voulu aussi poser le problème avec plus de force sur la (...)
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Logement : manifestation/forum samedi 12 juin 2010 à St-Etienne
6 juin 2010Depuis maintenant plus d’un an notre collectif « pour que personne ne dorme à la rue » se bat pour le droit au logement pour tous. Nous avons mené de nombreuses actions qui vont de la réquisition citoyenne de bâtiments publics à l’hébergement militant de personnes ou familles se retrouvant sans abri en passant par des actions médiatiques pour dénoncer ce problème de logement. Si toutes ces actions ne sont pas restées sans effet et ont contraint pouvoirs publics et élus à répondre au cas par cas pour (...)
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Cet Etat nous fait honte. "L’Etat doit appliquer la Loi !"
26 avril 2010Depuis de nombreux mois maintenant, sur l’agglomération stéphanoise comme un peu partout en France, des demandeurs d’asile inscrits à la préfecture depuis leur arrivée à Saint-Etienne sont laissés à la rue, par familles entières, avec des bébés. Les services préfectoraux, qui ont l’obligation légale de loger ces familles, font le strict minimum, et encore sous la pression, laissant aux associations et aux citoyens le soin de mettre à l’abri ces personnes, de répondre aux urgences... en fait, de faire le (...)
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Rassemblement contre les expulsions : le compte-rendu de la rencontre avec les représentants du Préfet...
5 avril 2010Lors du rassemblement de protestation contre les expulsions devant la Préfecture ce vendredi 2 avril (Voir), une délégation a été reçue. Voici un bref compte rendu de la discussion...
Suite au rassemblement de vendredi dernier devant la préfecture, nous avons été reçu par le directeur de cabinet du préfet, Mr Lime et par le chef de cabinet Melle Bonhomme. Nous étions six dont un représentant des familles roms expulsées du squat de la rue Antoine Durafour : Paul Boiron, Nicole Ozouf, Georges Gunther, (...) -
Pour le respect du droit au logement pour tous, un rassemblement a eu lieu ce vendredi 2 avril devant la Préfecture.
2 avril 2010Vendredi 2 avril - Les expulsions c’est parti. La trêve hivernale étant terminée, le Préfet est passé rapidement aux actes. Mais les militants et les associations du collectif “Pour que personne ne dorme à la rue” sont sur le pont eux aussi. En réaction à l’expulsion des familles Rroms de la rue Durafour ce jeudi matin, un rassemblement de protestation organisé en quelques heures a eu lieu ce vendredi soir devant la Préfecture. Une bonne quarantaine de personnes du réseau de solidarité avec les familles (...)
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Le collectif « Pour que personne ne dorme à la rue » demande à rencontrer le Préfet de la Loire...
23 mars 2010Le 15 mars, le collectif “Pour que personne ne dorme à la rue” a adressé la lettre ci-dessous au Préfet de la Loire, dans laquelle le collectif sollicite une rencontre pour parler de la situation alors que la période hivernale se termine :
“Monsieur le Préfet,
Depuis maintenant un an, notre collectif d’associations et de citoyens alerte sur la question du logement dans l’agglomération stéphanoise. Depuis un an, nous avons multiplié les initiatives, fait de nombreuses propositions, accompagné des (...) -
Le Collectif “pour que personne ne dorme à la rue” fait le point
26 février 2010Le collectif « pour que personne ne dorme à la rue » a émergé, au printemps 2009, d’une réalité à laquelle participants du RESF, du réseau de solidarité avec les rroms, du comité Tchétchénie Loire-Haute-Loire, ou responsables du bistrot social, de la Passerelle et d’autres associations[1], nous sommes confrontés : celles de familles migrantes se retrouvant à la rue, sans logement. Parmi elles des demandeurs d’asile que l’Etat à l’obligation légale de loger. Régulièrement, des familles nous contactaient. (...)
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Nous refusons d’accepter qu’un seul être humain qui demande un toit soit laissé à la rue
1er février 2010, par Yves ScanuLe collectif que personne ne dorme à la rue rassemble associations, syndicats et aussi de simples individus. Nous refusons d’accepter qu’un seul être humain qui demande un toit soit laissé à la rue. D’ailleurs qui imagine que dans notre pays qui fait partie des plus riches de la planète cela puisse être possible ? C’est pourtant une triste réalité. Le collectif qui s’est constitué au printemps dernier a dès cette époque alerté les pouvoirs publics sur cette catastrophique situation du logement et de (...)
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Jour après jour, pour que personne ne dorme à la rue...
3 janvier 2010, par Agnès MounierDepuis le mois de mars 2009, le collectif « que personne ne dorme à la rue » est alerté par le fait que des familles qui ont déposé une demande d’asile n’ont pas de lieu pour dormir (ces familles doivent être logées par l’Etat selon la loi). Le 24 décembre, le préfet a réquisitionné un gymnase à la Rivière pour les loger : 67 lits sont installés dans de très mauvaises conditions d’intimité. Malgré tout, les familles sont contentes d’être mises à l’abri.
Cependant, le lundi 28 décembre, nous sommes (...)